Quand le capital devient conscience
Nous sommes nombreux à hériter. Certains d’entre nous, nous apprennent à en faire quelque chose d’aligné.
Lorsque notre père est décédé il y a près de 10 ans, il a laissé derrière lui un patrimoine relativement important. Mais ce n’était pas un héritage fluide ou apaisé. C’était un héritage chargé. D’amour, de tensions, de non-dits, de décisions inachevées. Ce n’était pas juste un actif financier : c’était un poids émotionnel, un legs psychologique, un appel silencieux à faire différemment.
Très vite, nous avons compris que notre rôle n’était pas seulement de gérer un portefeuille. Il était de structurer quelque chose de plus grand. De plus vivant.
Il s’agissait de faire du sens avec ce qui avait été transmis — pas seulement des chiffres, mais une histoire, une culture, une blessure aussi.
C’est à ce moment que Next Momentum Capital a recommencé à prendre forme.
Non pas comme une entité purement financière, mais comme une réponse à une question profonde : que veut-on vraiment transmettre ? Et à quelles conditions cela a-t-il du sens ?
Nous avons commencé à restructurer. À apprendre. À investir. Mais à chaque étape, une conviction revenait :
Le capital n’est pas neutre.
Il est le prolongement de nos décisions, de nos valeurs, de notre façon d’être au monde.
Et donc, investir, ce n’est pas seulement chercher du rendement.
C’est prendre position.
C’est participer à l’évolution d’un monde.
C’est, parfois, réparer ce qui a été abîmé.
C’est, toujours, cultiver ce qui mérite d’être transmis.
Chez NMC, nous investissons avec une double exigence :
• la rigueur stratégique et financière,
• et la conscience humaine et émotionnelle.
Nous analysons les actifs, bien sûr. Mais aussi les récits. Les intentions. Les impacts cachés.
Nous regardons les chiffres. Mais aussi les visages derrière.
Nous nous posons une question simple : est-ce que cet investissement rend le monde un peu plus cohérent avec ce que nous croyons ?
Ce n’est pas une posture morale. C’est une posture de responsabilité.
Et peut-être même de maturité.
Car à quoi bon faire croître un capital, s’il crée du vide autour de lui ?
À quoi bon transmettre une fortune, si elle divise ?
À quoi bon investir dans demain, si cela se fait au détriment de ceux que l’on aime aujourd’hui ?
Nous ne prétendons pas avoir toutes les réponses.
Mais nous sommes en chemin.
Et ce chemin, pour nous, s’appelle cohérence.
Faire de l’héritage une force vivante.
Faire du capital un levier de conscience.
Et faire de notre histoire personnelle un terrain fertile pour bâtir mieux.

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Guillaume Mondron
